"Des fois l'amour dur, des fois il blesse aussi"...

Voila déjà une semaine où je n'ai plus de nouvelles. Qu'est-ce que tu as ? Pourquoi tu fais ça.
Du jour au lendemain plus de message, je comprends maintenant ce que tu as ressenti quand ton ex' à fait la même chose.
Tu savais très bien à quel point tu contais pour moi, j'avais besoin de te parler au moins une fois dans la journée, sentir que tu étais là près de moi mentalement, sentir ta présence même si physiquement ont est éloignés.
Je t'ai posé une question à laquelle je m'attendais à un non, et tu m'as répondu oui. J'aurais cru que nos échanges dureraient toujours jusqu'à ce fameux jours où l'on devait se voir pour de bon.
Je sais qu'il y a peu de chance pour que tu viennes sur ce blog, mais j'avais besoin de le dire. Et qui sais, peut être qu'un jour j'aurais le courage de te le dire.

Voir une personne que tu aimes devant tes yeux et ne rien pouvoir faire, ça fait mal...

"-Tu crois que ça va allez mieux ? Que je vais m'en sortir ?
-Oui, il n'y a pas de raison que tu ne t'en sortes pas."

Ces paroles ce bousculent encore dans ma tête, et maintenant, je suis incapable de dire à quelqu'un que tout iras bien. J'y croyais, ont y croyaient tous. Ont en doutaient par moment, mais ont a gardé espoir.

Ne commencez jamais à fumer, j'ai vu les dégâts, jusqu'où ça mènes.
Voir sa grand-mère passer d'une femme pleine de gaité, de joie à une femme assisse sur son canapé, mal partout dans ses os, avoir une poche à la place de la vessie, ne pouvant que se déplacer petit pas par petit pas, ça fait mal, très mal.
Voir son état se dégrader de jours en jours, la voire souffrir de plus en plus, et que lui donner l'espoir, l'espoir de s'en sortir vivante, puisque c'est la seule chose que tu peux faire.
Elle avait besoin d'une rampe pour monter les escalier, des barres pour se tenir dans la douche, de faire des scanners, de la chimio, elle à finit par perdre ses cheveux, de se déplacer en fauteuil roulant, de se retrouver dans un lit d'hôpital pour finir enterré.
Je la revois encore en train de pleurer, à bout de force, ayant mal partout. Rien n'a pus la sauver, rien.
Ce n'ai qu'une fois que l'on à glisser le cercueil au fond du trou, que nous avons tous compris que c'était finit.
Pour elle, ce passage de sa vie, c'était comme cuire à tout petit feu, une mort plus lente et plus douloureuse chaque minutes qui passaient. Horrible ? Oui c'est le mot.
C'est pourquoi je vous déconseilles de commencer à fumer. Même si ça peut vous arrivez sans, ne faite pas augmenter la malchance.
Notre vie est bien assez courte comme ça.

Solène.

De toute façon il faut vivre...

"Je n'ai jamais demandé de vivre. Je suis au stade où je n'ai ni envie de vivre, ni envie de mourir."

Pensée sinistre, je vous l'accorde. Mais c'est ce que j'ai ressentit pendant plusieurs mois. Ne voulant pas montrer ma peine, je souriais tout le temps. J'étais un peu en mode "barbie" devant mon entourage.
Je suis maintenant pratiquement sortit de cette fasse, mais pour combien de temps ?
Ce qui explique mon comportement lunatique. Je m'efforce d'avoir des pensées positives, mais vite les négatives reviennent ce qui me fait changer de comportement.
Je n'ai pas envie de me forcer de sourire, je n'ai pas envie que l'on croire que je déprime (même si je suis la limite, mais je n'en éloigne de plus en plus).

Ce petit bout noir de ma vie est presque finit. Mais pour combien de temps ? Jusqu'à ce que je reçoive encore une grande claque en pleine face.

"Il y a des êtres que la mort te prend et ne te rend pas"

Une simple pensée à beaucoup trop de personnes, quatre :

- A mon oncle, qui s'est donné la mort le jour de la Saint-Valentin un lundi en décident de se pendre. Il avait deux enfants dont un qui ne s'en souvient plus très bien puisqu'il était trop jeune.

- A mon grand-père paternel, qui est partit pendant une nuit d'un samedi soir. Je n'ai pas put retenir mes larmes en le voyant dans son lit d'hôpital, il entendait si mal.

- A la femme de mon oncle (frère de ma grand-mère maternelle), morte d'un cancer déclaré trop tard.

- A ma grand-mère maternelle, celle avec qui j'ai grandie, qui habitait à deux maisons de la mienne. Morte d'un cancer de la vessie.

Premier post

Je veux mettre deux trois choses au points avant de commencer

(à ne pas prendre méchamment merci) :

-Premièrement : En créant ce blog, je n'attend pas de la pitié, ni de la compréhension, c'est simplement pour m'exprimer. Si vous voulez, vous pouvez, je répondrais à tout les messages, mais ne vous sentez pas obligez.

-Deuxièmement : Il est possible que j'écrive ici lorsque je suis en fasse de déprime. Ne croyez pas, pour ceux qui me connaissent, de venir me voir d'un air navré.

-Troisièmement : Désolé si je vous fait déprimer, mais je vous aurais prévenu dans la description.

-Quatrièmement : Il n'y aura probablement pas de dessins.

Si vous voulez voir la période heureuse de ma vie : http://annees-lycee.blogspot.fr/